Transformé ou ultra-transformé
Alimentation ultra transformée: péril dans l’assiette!
36.9° émission de la RTS parle des aliments ultra transformés et de leurs conséquences sur notre santé. https://www.rts.ch/play/tv/redirect/detail/12487673
La recherche en épidémiologie nutritionnelle montre que cette alimentation pèse lourd sur notre santé. Ici vous trouvez un résumé de ce qui est rapporté dans l’émission.
Depuis 1980 nous avons progressivement basculé des aliments transformés aux aliments ultra transformés.
Pour certains les aliments ultra transformés sont des plats tout prêts que l’on glisse dans le micro-ondes. Eh bien… pas seulement. Qu’en est-il des épinards congelés ou encore du jambon? A priori on pense avoir ici l’exemple d’aliments sains et relativement peu transformés... et pourtant.... À la lecture des ingrédients « surprise » : « amidon de maïs transformé » « sirop de glucose » ou « nitrites » « maltodextrose » « glucose » « ascorbate de sodium » « stabilisants » « triphosphates »
Bienvenue dans le monde des additifs qui incarnent la transformation à l’extrême de notre alimentation.
36.9° émission de la RTS parle des aliments ultra transformés et de leurs conséquences sur notre santé. https://www.rts.ch/play/tv/redirect/detail/12487673
La recherche en épidémiologie nutritionnelle montre que cette alimentation pèse lourd sur notre santé. Ici vous trouvez un résumé de ce qui est rapporté dans l’émission.
Depuis 1980 nous avons progressivement basculé des aliments transformés aux aliments ultra transformés.
Pour certains les aliments ultra transformés sont des plats tout prêts que l’on glisse dans le micro-ondes. Eh bien… pas seulement. Qu’en est-il des épinards congelés ou encore du jambon? A priori on pense avoir ici l’exemple d’aliments sains et relativement peu transformés... et pourtant.... À la lecture des ingrédients « surprise » : « amidon de maïs transformé » « sirop de glucose » ou « nitrites » « maltodextrose » « glucose » « ascorbate de sodium » « stabilisants » « triphosphates »
Bienvenue dans le monde des additifs qui incarnent la transformation à l’extrême de notre alimentation.
A l’INRAE (institut de recherche durable de l'agriculture, l'alimentation et l'environnement) des chercheurs travaillent pour mieux comprendre l’impact de la transformation des aliments sur le métabolisme. La transformation de l’aliment existe depuis toujours, la question qui anime les chercheurs c’est le degré de transformation qui est acceptable. L’ultra transformation alimentaire c’est l’ajout d’additifs mais aussi le résultat de la fragmentation d’un aliment brut, la destruction de la matrice, par des procédés mécaniques et chimiques comme « le cracking ».
Les produit ultra transformés coûtent souvent moins cher, car si vous ajoutez 1% de sirop de glucose dans un aliments, c’est 1% de produit noble en moins dans votre aliment.
Les produit ultra transformés coûtent souvent moins cher, car si vous ajoutez 1% de sirop de glucose dans un aliments, c’est 1% de produit noble en moins dans votre aliment.
(Dans un produit comme le caviar ça serait tout de suite plus flagrant...)
La déstructuration de la matrice d’une céréale augmente son indice glycémique et diminue son pouvoir de satiété. Il a été démontré par des chercheurs que les calories des ultra transformés ne sont pas égales à celles des produits bruts peu transformés. À calorie égales ils ont encore plus d’effet sur la glycémie et l’insuline que le simple sucre de table.
Résultat l’épidémie de diabète de type 2 est galopante, des enfants en sont maintenant atteints alors qu’il y a 30 ans, seul les personnes âgées étaient concernées.
Les conséquences de l’ultra transformé pèsent lourd sur notre santé. Les premières recherches internationales ont établies une corrélation entre consommation des produits ultra transformés, surpoids et obésité. La porte ouverte à un grand nombre de pathologies et de maladies chroniques.
La consommation régulière de produits ultras transformés a des effets délétères sur notre santé physique, mais pas seulement... elle a également une incidence sur notre psychisme.
L’étude Nutri-net santé a permis de mettre en relation que plus les participants consommaient des aliments ultra transformés plus ils étaient à risque de développer un cancer au fil du suivi. Ils ont également pu faire une association significative entre alimentation ultra transformée et d’avantages de symptômes dépressifs. Aujourd’hui on s’interroge aussi sur l’impact exact de cette alimentation sur le comportement et l’humeur.
« Si les jeunes sont très tôt la cible de l’alimentation ultra transformée, ils deviennent clients à vie.
Ils sont la cible principale des aliments ultra transformés. Des produits pratiques économiques au fort pouvoir d’attraction et d’addiction. L’ajout de gras, de sel, de sucre et d’exhausteurs de goût crée une forte dépendance à ces produits. C’est étudié pour que notre cerveau en redemande et toujours plus. Ces aliments ultra transformés sont également responsables de 90% des sucres cachés.
Si les jeunes sont habitués à reconnaitre les vrais aliments et connaître l’impact qu’ils ont, sur la santé à long terme et sur la planète, c’est cette cible qu’il faut éduquer au plus vite. Par le simple acte d’achat Nous avons tous la possibilité d’être acteur du changement et pas seulement observateur impuissant.
Nous sommes ce que nous mangeons disait Hippocrate... il est temps de remettre à sa place l’alimentation ultra transformée afin qu’elle redevienne une exception au lieu de s’imposer en règle. Une nécessité pour préserver notre capital santé physique mais aussi psychique.
La consommation régulière de produits ultras transformés a des effets délétères sur notre santé physique, mais pas seulement... elle a également une incidence sur notre psychisme.
L’étude Nutri-net santé a permis de mettre en relation que plus les participants consommaient des aliments ultra transformés plus ils étaient à risque de développer un cancer au fil du suivi. Ils ont également pu faire une association significative entre alimentation ultra transformée et d’avantages de symptômes dépressifs. Aujourd’hui on s’interroge aussi sur l’impact exact de cette alimentation sur le comportement et l’humeur.
« Si les jeunes sont très tôt la cible de l’alimentation ultra transformée, ils deviennent clients à vie.
Ils sont la cible principale des aliments ultra transformés. Des produits pratiques économiques au fort pouvoir d’attraction et d’addiction. L’ajout de gras, de sel, de sucre et d’exhausteurs de goût crée une forte dépendance à ces produits. C’est étudié pour que notre cerveau en redemande et toujours plus. Ces aliments ultra transformés sont également responsables de 90% des sucres cachés.
Si les jeunes sont habitués à reconnaitre les vrais aliments et connaître l’impact qu’ils ont, sur la santé à long terme et sur la planète, c’est cette cible qu’il faut éduquer au plus vite. Par le simple acte d’achat Nous avons tous la possibilité d’être acteur du changement et pas seulement observateur impuissant.
Nous sommes ce que nous mangeons disait Hippocrate... il est temps de remettre à sa place l’alimentation ultra transformée afin qu’elle redevienne une exception au lieu de s’imposer en règle. Une nécessité pour préserver notre capital santé physique mais aussi psychique.
Bien nourrir son cerveau
Bien nourrir son cerveau
36.9° émission de la RTS parle de l’influence de la nourriture sur le cerveau https://pages.rts.ch/emissions/36-9/11705628-bien-nourrir-son-cerveau.html#11705631. Malheureusement cette émission n’est plus disponible sur le site de la RTS mais il est possible de trouver le documentaire original sur l’application de la chaîne ARTE.
Voici un bref résumé de ce qui est rapporté dans l’émission.
« Les excès de gras et de sucre sont désormais dans le collimateur des scientifiques qui travaillent sur le cerveau »
Partout dans le monde des équipes de recherches imaginent un moyen de vérifier ce qui se passe dans le cerveau quand un individu n’a plus accès à une alimentation naturelle.
« Les excès mais aussi les carences »
Que se passe-t-il pour les neurones quand les repas sont pauvres en nutriments et toujours les mêmes ?
Différentes expériences scientifiques, menées dans plusieurs universités, montrent que les carences de certains nutriments ont des impacts sur le cerveau et les humeurs. On constate par exemple chez les souris carencées en Oméga 3 qu’elles sont plus stressées et angoissées. Le développement et la connectivité de leurs neurones s’en trouvent également affecté. Autre exemple, une carence en vitamine B3 chez les hamsters entraîne des troubles du comportement tel qu’hyper sensibilité et hyper agressivité.
« Il faut donc éviter les carences »
Pour cela faut-t-il encore que les bons nutriments soient accessibles et qu’une alimentation variée soit disponible.
« Le contenu de l’assiettes pourrait-il aussi influencer nos décisions ? »
Une professeure de l’université de Lübeck nous explique que les gens acceptent aujourd’hui l’idée que ce qu’ils mangent impact leur santé. Mais lorsque on leur demande si l’alimentation peut aussi influencer leurs pensées et leurs décisions, très peu de gens sont prêts à croire que c’est le cas. Pourtant cette professeure en a pour la première fois apporté la preuve. Ce que nous mangeons modifierait subtilement la chimie du cerveau et donc la communication entre les neurones. Des expériences se poursuivent pour confirmer ce résultat car il s’agit d’une première et les implications sont nombreuses.
Mais qu’en est-il alors de la mal bouffe ? Qu’arriverait-il si nous ne mangions que cela ?
Une professeure de l’université de Sydney dirige le seul laboratoire au monde où les ras sont nourris à la mal bouffe. Elle explique que la première conséquence de cette alimentation chez le rat, est qu’il double ses rations alimentaires. Mais ce n’est pas le plus surprenant…
Chez ces animaux qui mangent très gras et très sucré, on constate également que la mémoire spatiale est abîmée. Les ras suralimentés ont aussi d’autres dysfonctionnements qui sonnent comme un signal d’alarme pour les scientifiques. Certains disfonctionnements trahissent une altération de l’hippocampe, petite région nichée au cœur du cerveau et qui est indispensable à l'apprentissage et à la consolidation des souvenirs.
La présentatrice de l’émission rappelle que les enquêtes alimentaires sont très difficiles à mener. qu’il a fallu 50 ans pour réussir à prouver le lien entre tabagisme, cancer et maladie pulmonaires. Et qu’il faudra certainement autant d’effort pour démontrer la responsabilité de l’alimentation ultra transformée dans la dégradation de la santé psychique des générations Junk Food.
36.9° émission de la RTS parle de l’influence de la nourriture sur le cerveau https://pages.rts.ch/emissions/36-9/11705628-bien-nourrir-son-cerveau.html#11705631. Malheureusement cette émission n’est plus disponible sur le site de la RTS mais il est possible de trouver le documentaire original sur l’application de la chaîne ARTE.
Voici un bref résumé de ce qui est rapporté dans l’émission.
« Les excès de gras et de sucre sont désormais dans le collimateur des scientifiques qui travaillent sur le cerveau »
Partout dans le monde des équipes de recherches imaginent un moyen de vérifier ce qui se passe dans le cerveau quand un individu n’a plus accès à une alimentation naturelle.
« Les excès mais aussi les carences »
Que se passe-t-il pour les neurones quand les repas sont pauvres en nutriments et toujours les mêmes ?
Différentes expériences scientifiques, menées dans plusieurs universités, montrent que les carences de certains nutriments ont des impacts sur le cerveau et les humeurs. On constate par exemple chez les souris carencées en Oméga 3 qu’elles sont plus stressées et angoissées. Le développement et la connectivité de leurs neurones s’en trouvent également affecté. Autre exemple, une carence en vitamine B3 chez les hamsters entraîne des troubles du comportement tel qu’hyper sensibilité et hyper agressivité.
« Il faut donc éviter les carences »
Pour cela faut-t-il encore que les bons nutriments soient accessibles et qu’une alimentation variée soit disponible.
« Le contenu de l’assiettes pourrait-il aussi influencer nos décisions ? »
Une professeure de l’université de Lübeck nous explique que les gens acceptent aujourd’hui l’idée que ce qu’ils mangent impact leur santé. Mais lorsque on leur demande si l’alimentation peut aussi influencer leurs pensées et leurs décisions, très peu de gens sont prêts à croire que c’est le cas. Pourtant cette professeure en a pour la première fois apporté la preuve. Ce que nous mangeons modifierait subtilement la chimie du cerveau et donc la communication entre les neurones. Des expériences se poursuivent pour confirmer ce résultat car il s’agit d’une première et les implications sont nombreuses.
Mais qu’en est-il alors de la mal bouffe ? Qu’arriverait-il si nous ne mangions que cela ?
Une professeure de l’université de Sydney dirige le seul laboratoire au monde où les ras sont nourris à la mal bouffe. Elle explique que la première conséquence de cette alimentation chez le rat, est qu’il double ses rations alimentaires. Mais ce n’est pas le plus surprenant…
Chez ces animaux qui mangent très gras et très sucré, on constate également que la mémoire spatiale est abîmée. Les ras suralimentés ont aussi d’autres dysfonctionnements qui sonnent comme un signal d’alarme pour les scientifiques. Certains disfonctionnements trahissent une altération de l’hippocampe, petite région nichée au cœur du cerveau et qui est indispensable à l'apprentissage et à la consolidation des souvenirs.
La présentatrice de l’émission rappelle que les enquêtes alimentaires sont très difficiles à mener. qu’il a fallu 50 ans pour réussir à prouver le lien entre tabagisme, cancer et maladie pulmonaires. Et qu’il faudra certainement autant d’effort pour démontrer la responsabilité de l’alimentation ultra transformée dans la dégradation de la santé psychique des générations Junk Food.
« Lève-toi et bouge »
Lève-toi et bouge!
36.9° émission sur la RTS, parle de la sédentarité et de ses conséquences. https://www.rts.ch/play/tv/369/video/la-chaise-qui-tue-millenials--baisse-du-desir-masculin-?urn=urn:rts:video:10751402 . Voici un bref résumé de ce qui est rapporté dans l’émission
L’activité physique est la première sacrifiée sur l’autel du temps... pourtant le mouvement c’est la vie et souvent le premier traitement de bien des maladies, c’est ce qu’explique les professionnels de la santé dans ce reportage.
« Qui sait aujourd’hui que 35 maladies chroniques sont favorisées par le temps passé assis et par l’inactivité physique »
Activité physique ne veux pas dire sport!
L’activité physique c’est le mouvement même s’il est léger, l’important c’est qu’il soit régulier. L’objectif pour sortir de la sédentarité est de pratiquer une activité régulière. Se mettre des objectifs et des échéances raisonnables pour les atteindre est un moyen de changer ses habitudes. Mais même si l’objectif n’est pas atteint, rappelez-vous que chaque mouvement compte et vous en rapproche.
Dans l’idéal pour sortir de la sédentarité il faudrait arriver à faire par exemple 30 minutes de marche modérée par jour tous les jour.
Ces fameuses 30 minutes par jour améliore la condition d’un sédentaire. Puis accompagnées d’une bonne hygiène de vie, l’activité physique peut ajouter quelques années à la vie mais encore plus important de la vie aux années, comme le précise le Dr. Kayser dans ce reportage.
Un sportif peut également être sédentaire!
Sachez aussi qu’un sportif peut être considéré comme sédentaire! Parce qu’une personne qui fait deux heures de sport deux fois par semaine mais ne bouge pas le reste du temps est aussi considéré dans un système de sédentarité. Pour sortir de la sédentarité il est préférable d’avoir une activité régulière même si elle est légère.
Un exemple très parlant est utilisé dans ce reportage pour imager l’importance de la régularité. Imaginez que c’est comme si vous vous laviez les dents sept fois mais seulement le samedi et le dimanche...
Prendre du temps pour l’essentiel
Si vous travaillez assis, il est recommandé de se lever et marcher au minimum deux à trois minutes toutes les deux heure même si dans l’idéal il vous faudrait le faire une fois toutes les heures.
Un réaménagement de son temps et de ses habitudes peuvent parfois suffir à atteindre cette objectif de 30 minutes assez facilement. Amener les enfants à l’école à pieds, éviter les ascenseurs, prendre sa pause de midi à l’extérieur... évidement cela vous prendra quelques minutes supplémentaires à chaque fois... mais ce temps n’est pas perdu il est investi dans quelque chose d’essentiel « votre bien-être et votre santé ».
L’activité physique c’est le mouvement même s’il est léger, l’important c’est qu’il soit régulier. L’objectif pour sortir de la sédentarité est de pratiquer une activité régulière. Se mettre des objectifs et des échéances raisonnables pour les atteindre est un moyen de changer ses habitudes. Mais même si l’objectif n’est pas atteint, rappelez-vous que chaque mouvement compte et vous en rapproche.
Dans l’idéal pour sortir de la sédentarité il faudrait arriver à faire par exemple 30 minutes de marche modérée par jour tous les jour.
Ces fameuses 30 minutes par jour améliore la condition d’un sédentaire. Puis accompagnées d’une bonne hygiène de vie, l’activité physique peut ajouter quelques années à la vie mais encore plus important de la vie aux années, comme le précise le Dr. Kayser dans ce reportage.
Un sportif peut également être sédentaire!
Sachez aussi qu’un sportif peut être considéré comme sédentaire! Parce qu’une personne qui fait deux heures de sport deux fois par semaine mais ne bouge pas le reste du temps est aussi considéré dans un système de sédentarité. Pour sortir de la sédentarité il est préférable d’avoir une activité régulière même si elle est légère.
Un exemple très parlant est utilisé dans ce reportage pour imager l’importance de la régularité. Imaginez que c’est comme si vous vous laviez les dents sept fois mais seulement le samedi et le dimanche...
Prendre du temps pour l’essentiel
Si vous travaillez assis, il est recommandé de se lever et marcher au minimum deux à trois minutes toutes les deux heure même si dans l’idéal il vous faudrait le faire une fois toutes les heures.
Un réaménagement de son temps et de ses habitudes peuvent parfois suffir à atteindre cette objectif de 30 minutes assez facilement. Amener les enfants à l’école à pieds, éviter les ascenseurs, prendre sa pause de midi à l’extérieur... évidement cela vous prendra quelques minutes supplémentaires à chaque fois... mais ce temps n’est pas perdu il est investi dans quelque chose d’essentiel « votre bien-être et votre santé ».